En vrac : 2 km de sentiers « casse gueule » au bord du lac, 2 km de bitume casse pieds, 500 m de piste gravillonnée, 6 km de plage à marée mi-haute (ou mi-basse pour les optimistes), des dunes raides et molles ( ??!!!), des beaux chemins, des chemins pourris, des genêts, des ajoncs, des ronces si vous coupez un peu, des gamelles, de gentils bénévoles (et modestes !), un point de vue imprenable, des blessures, des larmes, des sourires, des rires, la solidarité des Trans Aquitains, des amitiés qui se noueront…
Bref une belle étape typée Trans Aq’.
A ne pas sous-estimer, 28 km dans ces conditions correspondent à environ 35 km sur des sols stables. L’an passé il y eut 4 concurrents éliminés (hors délai) et déjà de belles tendinites, entre autres bobos.
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